Objectif :

Doter le territoire d’un outil à même de lui permettre de lutter contre le mal logement et influencer les politiques publiques pour une meilleure reconnaissance de l’auto-réhabilitation accompagnée comme levier de lutte contre le logement insalubre… L’objectif est d’élargir l’ARA à un public plus fragile. Pour y arriver, l’Arban travaille avec les acteurs du social et du logement pour créer un « parcours de l’ARA très social ».

3 axes d’interventions :

– l’urbanisme rural : il s’agit d’aider les habitants et élus d’une commune à réfléchir au devenir de leur bourg. Pour cela l’Arban s’inscrit dans une démarche participative, encourage les solidarités et la prise en compte des changements climatiques.
– l’accompagnement des projets collectifs qui participent à la redynamisation d’un bourg (projet avec dimension économique et forte plus value sociale). La SCIC les accompagne sur le volet immobilier (12 associations soutenues sur le Limousin).
– l’Auto Réhabilitation Accompagnée (ARA)

Bénéficiaires du projet :

– Utilisateurs du projet Les bénéficiaires directs du projet sont les personnes subissant le mal logement dû à des problèmes d’insalubrité, d’humidité… Le territoire concerné est particulièrement touché par ce problème. La plateforme ARA leur apportera des conseils, un accompagnement technique et leur mettra à disposition les outils adéquats. La plateforme sera la partie opérationnelle d’une politique locale en faveur de l’ARA comme vecteur de lutte contre le mal logement.
La reconnaissance de l’ARA par les acteurs institutionnels et son intégration dans leurs stratégies d’intervention contre le mal logement, bénéficiera directement aux familles précaires car cela signifie que des moyens supplémentaires vont être alloués à cette cause.

– Salariés du projet
La création d’une plateforme pour l’auto réhabilitation accompagnée et d’une outilthèque adaptée vont faciliter le travail des techniciens habitat de l’Arban. Ils gagneront en efficacité et en fatigue dans la réalisation de leurs tâches.

Territoire :

Le périmètre géographique bénéficiant du projet est celui du Parc Naturel Régional de Millevaches. Celui-ci compte environ 130 communes à cheval sur le Sud de la Creuse, le Nord de la Corrèze et quelques communes de l’Est de la Haute Vienne.

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